C’est la nouvelle exigence imposée dans les établissements pénitentiaires par le délégué général de l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR), Mohamed Saleh Tamek.
Selon le patron de la DGAPR, cette procédure consiste à "réguler un espace pénitentiaire et à adopter une approche préventive, afin de réduire les risques liés à l’usage de téléphones portables à l’intérieur des établissements pénitentiaires". Cette règlementation vise également à "lutter contre certaines pratiques et comportements qui violent la législation en vigueur".
Cependant, la nouvelle règle ne concerne pas uniquement le personnel de l’établissement, mais aussi les visiteurs des prisonniers.
Par ailleurs, l’utilisation du téléphone de service est également interdite, à l’exception du directeur et de la personne chargée des affaires publiques de la DGAPR, ou les personnes chargées de les remplacer si elles sont absentes.