Des ennuis judiciaires pour Uber au Maroc

D’après alyaoum24, une action est actuellement en cours et un communiqué doit être publié dans les prochains jours par la Wilaya pour détailler cette procédure à l’encontre d’Uber.

Du côté de la filiale marocaine, aucune information n’a filtré. On assure que pour l’instant aucune notification ne lui a été adressée de la part de la justice.

La menace de plainte, si elle est confirmée dans les prochains jours, avait été pourtant brandie par la Wilaya de Casablanca juste après le lancement du service le 4 août dernier. « L’activité d’Uber Maroc n’est pas autorisée et expose toutes les personnes qui y travaillent ainsi que les chauffeurs engagés dans le cadre de cette fonction à des punitions », menaçait-elle dans un communiqué.

Et d’ajouter que « les autorités de la région de Casablanca entreprendront les démarches nécessaires afin de venir à bout de toutes les activités qui enfreignent les lois dans le secteur du transport ».