Cosmétiques contrefaits : une bombe à retardement pour les Marocaines
Nadia Radouane, spécialiste en dermatologie et esthétique, alerte les Marocaines sur les risques liés à l’utilisation des produits cosmétiques contrefaits.
Le ventilateur artificiel 100% marocain iVENT en essai
Le Maroc pourra dans les jours à venir se vanter de disposer d’un ventilateur artificiel fiable. L’Institut de recherche en énergie solaire et énergies nouvelles (IRESEN) a annoncé la finalisation du ventilateur artificiel marocain iVENT. Après une série de contrôles, le ventilateur subit actuellement des tests cliniques par des chercheurs avant sa mise sur le marché.
Le ventilateur artificiel marocain iVENT est un équipement fiable et abordable, avec plus de 80 % de composants de fabrication locale, qui permettra de soutenir le dispositif sanitaire, affirme l’Institut dans un communiqué. Il est le fruit de la fructueuse collaboration entre les chercheurs marocains de l’Institut de recherche en énergie solaire et énergies nouvelles (IRESEN), les startups eDEEP / eSMART, et l’École normale supérieure de l’enseignement technique de l’université Mohammed V (ENSET). Après les tests qui sont en cours, interviendra l’étape des procédures d’homologation de ce dispositif sanitaire.
Le même communiqué souligne que le ventilateur artificiel dans sa version finale, est doté d’une carte électronique et est conforme aux normes et fonctionnalités exigées par les professionnels de la santé. Il s’agit des 4 modes de ventilation qui assurent la ventilation contrôlée et la ventilation spontanée pour l’aide à l’inspiration des patients. On note la ventilation assistée contrôlée (VCV), le volume assisté contrôlé intermittent (VCV-I), la ventilation spontanée (VS) et le secours d’apnée permettant le basculement automatique au VCV-I, précise le communiqué.
Ce ventilateur artificiel est également muni de capteurs pour détecter des anomalies. Il est adapté aux besoins des personnes souffrant d’insuffisance respiratoire. Dans la perspective de production du ventilateur, les chercheurs ont noué des partenariats avec des industriels et financiers. La même option a été également adoptée pour le développement des capacités et du transfert de savoir-faire avec les pays subsahariens.
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