
Affaire Omar Radi : un témoin à décharge dans de sales draps
Alors qu’il est appelé à témoigner en faveur de son confrère et militant des droits humains Omar Radi, visé par une plainte pour viol, un journaliste se retrouve dans un ennui...
Aucune preuve qui étaye les allégations. C’est la position du gouvernement marocain qui se dit être toujours dans l’attente d’éléments scientifiques et concrets qui démontrent les graves accusations à l’encontre du Maroc dans le dossier « Omar Radi ».
Le gouvernement marocain a estimé que la réponse d’Amnesty international (AI)au sujet du journaliste Omar Radi n’est pas convaincante suite à ces réclamations.
Après les accusations infondées d’Amnesty international, le gouvernement maintient toujours ces exigences. L’exécutif exige que cette organisation non gouvernementale internationale qui promeut la défense des droits de l’homme lui fasse parvenir une copie du rapport de l’expertise scientifique adoptée. Mieux, il souhaite qu’Amnesty international rende public ce rapport.
Cependant, le Maroc se dit toujours ouvert au dialogue et réitère sa demande d’éclaircissements quant aux "fausses allégations" dont il est victime.
Aller plus loin
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