Pourquoi le Maroc séduit le monde du football
Le New York Times met en avant la politique sportive du Maroc qui connaît un essor certain et le souhait du royaume de devenir « une référence mondiale du football. »
L’avenir de Salah Sbaï
Si ce n’est que Fabien Camus semblait irrité (probablement par un petit problème purement interne et bénin), tout était normal, mercredi au Mambourg. Ibrahima Diallo est retenu parmi les préselectionnés guinéens qui disputeront la phase finale de la CAN 2008, du 20 janvier au 10 février.
De son côté, Salah Sbaï pensait au match du Maroc du 17 novembre, peut-être décisif quant à la qualification pour les JO de Pékin. "Si le Maroc gagne au Botswana et que le Cameroun ne s’impose pas en Guinée, nous serons en pole position avant le dernier match de qualification face aux Guinéens."
Il semble, en effet, que ceux qui auront leur sort en main au moment décisif (NdlR : les Camerounais accueilleront les Botswanais) auront toutes les chances d’émerger.
Salah Sbaï ne s’inquiète en tout cas pas de devoir attendre dans l’ombre de Laurent Ciman, à Charleroi : "C’est la règle du jeu. Mon coéquipier et ami a logiquement repris sa place. On oublie que si je dépanne dans l’axe central, je suis avant tout un défenseur latéral gauche. C’était le cas à Tubize et en équipe nationale."
La Dernière Heure - J.-F. P.
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