
Le Maroc pourrait faire face à une grave crise sanitaire et à une augmentation des incidents de violence et de criminalité, en raison de la propagation rapide de la drogue « l’boufa » qui détruit les jeunes marocains en silence.
Les membres d’un réseau de trafic de cocaïne actif au Maroc et à l’international dirigé par un ancien parlementaire marocain, comparaîtront le 26 septembre prochain devant la cour d’appel de Casablanca.
Le procès des mis en cause, poursuivis également pour immigration clandestine, falsification de documents administratifs et facilitation de la fuite d’un évadé hors du territoire marocain, a déjà été ajourné à trois reprises en raison de l’absence de trois des six accusés.
Lors du premier procès, trois des accusés avaient été condamnés par le tribunal de première instance de Casablanca à des peines de huit ans de prison. Le reste des suspects avait été innocenté.
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