Un drame s’est produit jeudi matin sur le chantier de réhabilitation de la Plaza de Toros, célèbre arène de taureaux de Tanger. Un ouvrier, âgé de 22 ans, a perdu la vie après une chute de sept mètres.
Le corps d’un Marocain momifié a été retrouvé dans son appartement, sis au quartier Valdegour à Nîmes, cinq ans après sa mort. C’est un huissier de justice, mandaté après quelques loyers impayés, qui a fait cette découverte surprenante, le 30 janvier 2020.
Mokrane H., septuagénaire, vivait dans l’isolement total dans son appartement. Il a fallu la visite d’un huissier de justice pour que le corps de ce Marocain soit découvert dans un état de momification.
Un de ses voisins le décrit comme un homme qui "âgé, avec un visage très pâle, qui se déplaçait avec une canne et portait un chapeau avec de la fourrure". L’homme serait né en 1948 et aurait trois enfants, confie-t-il à Midi Libre.
Selon les déclarations d’un autre voisin, le défunt était originaire du Maroc, plus précisément d’Azrou, une petite ville au sud de Fès. Il vivait seul dans un logement social par Habitat du Gard en 2006, sa famille étant restée au pays.
L’autopsie réalisée le lundi 3 février, a révélé que la mort de Mokrane H. était naturelle. Selon le médecin légiste, Mounir Benslima, le septuagénaire, était mort "pendant une période de froid" en hiver. Puisque l’état de conservation est exceptionnel. "Du jamais vu en 30 ans de carrière", s’exclame l’expert.
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