Le club anglais de Liverpool FC s’apprête à lancer ses filets sur un jeune talent marocain : Abdelhamid Ait Boudlal, capitaine de l’équipe nationale des moins de 17 ans.
Parce qu’il marque toujours face à Mons (ce fut encore le cas lors du match aller de la saison en cours), Majid Oulmers a manqué plus que jamais aux Zèbres, samedi dernier au stade Charles Tondreau où il aurait été susceptible d’empêcher son équipe d’enregistrer son premier nul blanc de la saison. Le médian franco-marocain va néanmoins avoir l’occasion de se rappeler aux bons souvenirs de tous dès ce week-end lors de la venue du GBA.
"Je n’ai plus joué depuis le 23 décembre dernier, lorsque je me suis blessé à la cuisse au Cercle, se remémore-t-il. Cela fait du bien de revenir dans le parcours. Bien sûr, je ne prétends pas que je figurerai dans l’équipe de base, parce que je suis en manque de compétition, mais je suis guéri. Donc, bien dans mon corps et, certainement, dans ma tête. Prêt à rendre service, quel que soit le poste où je serais aligné. L’essentiel, c’est que je rejoue !"
Majid Oulmers a eu l’occasion de méditer sur le parcours pour le moins en demi-teinte du Sporting : "L’accumulation des absences de pions importants - je pense notamment à celle de Defays - a porté préjudice au solide groupe que nous avons formé. La cohésion et les automatismes en ont souffert. Les retours progressifs, qui vont engendrer une nouvelle émulation, nous feront le plus grand bien. D’autant que nous ne voulons, ne pouvons et ne devons pas mettre toutes nos ambitions en veilleuse. Et qu’à travers les performances que nous réaliserons à l’occasion des douze derniers matches de championnat, nous préparerons l’avenir."
Parce que le garçon croit en celui-ci : "L’histoire du football démontre qu’il y a des années moins fastes. Or, on reconnaît la valeur d’un effectif à sa faculté de réaction. Il faut être capable de surmonter les périodes plus difficiles. Nous devons commencer par nous amuser de nouveau sur les terrains. C’est à cette condition que nous retrouverons l’indispensable confiance. Mais une amélioration se fait sentir. Nous encaissons moins et au départ de cette assise, nous devons désormais marquer plus !"
Source : La Dernière Heure - Jean-François Prévost
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