Selon AP, près d’un millier de personnes ont manifesté en scandant des slogans comme « liberté, dignité et équité sociale ».
« Nous sommes ici pour dire assez », a déclaré Nabila Mounib, présidente de la Fédération de la gauche démocratique (FGD), exigeant la libération de tous les détenus du Hirak et l’ouverture d’un dialogue avec eux afin « de lutter contre la corruption qui gangrène la région du Rif ».
L’agence de presse qualifie le Hirak du plus grand challenge du Maroc « un allié des Etats-Unis connu pour sa stabilité » depuis le Printemps arabe et rappelle que le mouvement est né il y a un an suite à la mort du vendeur de poissons Mohcine Fikri, broyé par une benne à ordures.