Lamya Ben Malek, une militante des droits de la femme, déplore le manque de réactivité des autorités et de la société civile marocaines face aux dénonciations de harcèlement sexuel par des mineures sur les réseaux sociaux.
Des peines allant jusqu’à quatre ans de prison ont été prononcées par la chambre criminelle de la Cour d’appel à Salé à l’encontre d’une vingtaine de personnes jugées dans des affaires de terrorisme.
Deux accusés ont été condamnés à 4 ans de prison chacun, six ont écopé d’une peine de trois ans, trois de deux ans et cinq autres sont condamnés à un an de prison ferme.
Les prévenus étaient poursuivis pour « constitution d’une bande en vue de préparer et de commettre des actes terroristes, apologie d’actes constituant des crimes terroristes et incitation à commettre un acte terroriste ».
La chambre criminelle a décidé de relaxer trois individus poursuivis dans ces affaires, rapporte la Map.
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