
Le Bureau central d’investigations judiciaires (BCIJ) a réussi à déjouer un plan terroriste dangereux visant le Maroc, commandité par un haut dirigeant de Daech dans la région du Sahel.
L’arrestation d’un présumé terroriste par le BCIJ
Des peines allant de 6 à 20 ans de prison ont été prononcées jeudi par la cour d’appel de Salé à l’encontre d’une dizaine de personnes poursuivies dans des affaires de terrorisme.
Deux mis en cause ont été condamnés à 20 ans de prison, sept personnes à 15 ans fermes, deux à 6 six ans pour « constitution d’une bande en vue de préparer et commettre des actes terroristes dans le cadre d’un projet collectif visant à porter gravement atteinte à l’ordre public et apologie d’actes et d’organisation terroristes constituant un crime terroriste », rapporte la Map.
Cette affaire remonte à janvier 2017 quand le Bureau central d’investigation judiciaire (BCIJ) a démantelé une cellule terroriste active à Tanger et Meknès, rappelle la même source.
Ces individus avaient l’intention de mener des attaques terroristes et de porter atteinte à « la sécurité des biens et des personnes », indiquait à l’époque le ministère de l’Intérieur, selon lequel des armes blanches et des équipements électroniques ont été saisis lors des perquisitions.
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