
Marrakech : procès en appel des accusés d’avortements clandestins
Deux médecins et 13 autres accusés dont des infirmières, ont été condamnés avec sursis par le tribunal de première instance de Marrakech dans l’affaire du réseau d’avortement...
Faute de pouvoir avorter, une jeune femme, victime d’une grossesse non désirée, a accepté de subir une césarienne au domicile d’une de ses connaissances, à Biougra. Une imprudence qui aurait pu lui être fatale.
Une jeune femme tombe enceinte suite à une relation extraconjugale, et cherche désespérément à interrompre sa grossesse. Elle en fait part à un ami, qui accepte de pratiquer l’avortement chez lui, moyennant une grosse somme d’argent.
Selon le site Agadir24, l’état de santé de la jeune maman célibataire s’est vite détérioré, suite à de graves complications. Transférée d’urgence à l’hôpital de Biougra, la victime a été finalement prise en charge au centre hospitalier d’Agadir, où son pronostic vital ne serait plus engagé.
Plus tard, elle révélera aux enquêteurs l’identité du principal mis en cause, dont on ignore la fonction exacte, poursuit la même source. Celui-ci a été interpellé, mercredi dernier et placé en garde à vue en attendant la fin de l’enquête judiciaire.
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