Hospitalisé durant de longs mois, le jeune homme âgé de 21 ans est finalement décédé puis rapatrié au Maroc pour y être enterré. Problème, dès le retour de la mère, elle a été interpellée par la police qui la soupçonne d’être derrière la mort de son fils.
Les analyses effectuées après le décès de la victime ont révélé la présence d’une substance dans le sang qui se trouve également dans les médicaments de la mère de famille. Celle-ci est soignée pour des arythmies cardiaques.
Toutefois, pour faire avancer cette enquête, le corps de la victime doit être exhumé. Problème : non seulement l’exhumation est interdite en islam, mais les relations entre le Maroc et les Pays-Bas sont loin d’être cordiales.
En attendant son procès, la mère de famille est assignée à domicile et elle a également pour interdiction d’approcher ses deux autres enfants, même si, estime la justice, "le risque de fuite ou de crime sont très faibles".