
Des partisans d’Al-Qaïda et de l’État islamique (EI) estiment que le tremblement de terre du 8 septembre au Maroc est une « punition divine ». Sans manquer de critiquer l’aide internationale dont bénéficient les victimes.
Le parlement était l’une des cibles de la cellule terroriste démantelée il y a une dizaine de jours au Maroc. Mais pas seulement.
Selon le magazine Jeune Afrique, les membres de cette cellule avaient également plusieurs cibles, notamment des centres commerciaux, le siège de la chaîne 2M à Casablanca, des casernes de gendarmerie et bien d’autres encore.
Ils avaient également pour projet d’enlever des "personnalités symboliques du régime", de les décapiter et de les filmer avant de diffuser les images. Toujours selon la même source, une attaque terroriste devait être téléguidée depuis un camp de Daech en Libye
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