
Le parquet de Valence spécialisé dans les délits de haine a requis trois ans de détention contre un homme accusé de diffusion d’informations mensongères sur les réseaux sociaux ciblant les musulmans, notamment Marocains.
Brahim Bouarram, tué par des militants du Front national
Il y a exactement 23 ans, le 1er mai 1995, Brahim Bouarram, un jeune Marocain, était jeté du haut d’un pont par des militants d’extrême-droite, provoquant sa mort par noyade.
Aujourd’hui, la maire de Paris Anne Hidalgo ainsi que le porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux, au nom du président Emmanuel Macron, ont déposé une gerbe à la mémoire du défunt.
Cet acte s’était déroulé en marge d’un défilé du Front national à l’occasion de la fête du travail. L’accusé principal avait été condamné à 8 ans de prison pour meurtre et trois autres à cinq ans de prison dont quatre ans avec sursis pour non-assistance à personne en danger.
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