Des bus belges polluants en circulation à Oujda

8 décembre 2021 - 23h20 - Belgique - Ecrit par : A.T

Des dizaines de bus polluants interdits de circulation à Bruxelles, sont actuellement utilisés sur les routes de la ville d’Oujda, suscitant étonnement et inquiétude.

Il s’agit de 179 bus appartenant à la Société des Transports Intercommunaux de Bruxelles, qui ne pouvaient plus rouler dans la zone de basses émissions bruxelloise, fait savoir Sud Info.

Ces bus aperçus notamment à Berkane seraient de norme euro3, c’est-à-dire immatriculés entre 2001 et 2006. Ils sont depuis le 1ᵉʳ janvier 2020 interdits à Bruxelles à cause de leur grand impact sur l’environnement.

A lire  : La pollution coûte très cher au Maroc

Inquiète, une source de la STIB a déclaré au média « si ces vieux bus sont trop polluants pour rouler dans la capitale de l’Europe, pourquoi peuvent-ils continuer à polluer ailleurs sur la planète, et notamment en Afrique du Nord ? »

Bladi.net Google News Suivez bladi.net sur Google News

Bladi.net sur WhatsApp Suivez bladi.net sur WhatsApp

Sujets associés : Belgique - Oujda - Transport en commun

Aller plus loin

Nouveaux bus à Casablanca : les chauffeurs de grands taxis en colère

La mise en service des nouveaux bus dans Casablanca et sa périphérie n’est pas du goût des chauffeurs de grands taxis qui y exercent. Ils ont décidé d’entraver le trajet de ces...

Le Maroc, bon élève en matière de lutte contre la pollution au carbone

Le Maroc ne figure pas parmi les grands émetteurs de carbone. C’est ce qu’a indiqué l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), à travers un nouveau...

La pollution coûte très cher au Maroc

L’impact de la pollution atmosphérique sur la santé et l’économie mondiale, mérite d’être mesurée. Au Maroc, la pollution de l’air attribuée aux énergies fossiles coûte près de...

Laâyoune se dote de bus dernier cri (vidéo)

Les nouveaux bus ultra-modernes de la ville de Laâyoune sont enfin là. Les autorités locales viennent de recevoir un lot de 25 bus qui semblent déjà plaire aux usagers.

Ces articles devraient vous intéresser :

Ces embouteillages qui rendent les Marocains furieux

Préoccupée par les embouteillages aux stations de péage, en particulier à celle de Bouznika, la députée Loubna Sghiri, membre du groupe du Progrès et du Socialisme, interpelle le ministre du Transport et de la Logistique, Abdessamad Kayouh.

Des voyageurs marocains victimes d’abus dans les gares routières

Les assistants de chauffeurs d’autocars exercent un diktat sur bon nombre de Marocains qui voyagent pour rejoindre leurs familles en vue de célébrer ensemble l’Aïd Al-Adha.

Le Maroc lance la révolution du transport urbain

Abdelouafi Laftit, ministre de l’Intérieur, s’active pour la mise en place d’un nouveau modèle de gestion du transport urbain, afin de réorganiser le secteur et d’en assurer le fonctionnement plus rationnel.

Maroc : 32 villes dotées de 3 500 bus flambant neufs

Le Maroc va mobiliser 10 milliards de dirhams pour l’acquisition d’une flotte de 3 500 bus de transport urbain au profit de 32 villes sur la période 2024-2029, a annoncé lundi Abdelouafi Laftit, ministre de l’Intérieur.

Le Maroc va régulariser les chauffeurs clandestins

Le gouvernement marocain offre désormais la possibilité aux propriétaires de véhicules de transport clandestin de régulariser leur situation et d’exercer leur activité de manière structurée.

Gardiens de parking : l’arnaque continue à Casablanca

Au Maroc, la fin du diktat des gardiens de parking illégaux communément appelés « gilets jaunes » n’est pas pour demain. Les automobilistes continuent de payer des tarifs illégaux. Un énorme manque à gagner pour les conseils communaux.

Maroc : du souci pour les exploitants de taxis

Au Maroc, les exploitants de taxis ont l’obligation de déclarer les conducteurs et leurs adjoints auprès des services compétents des préfectures avant le 31 mars 2025, au risque de perdre leur licence.

Au Maroc, les taxis clandestins dans le viseur du gouvernement

Abdelouafi Laftit, ministre de l’Intérieur, dit mener une lutte implacable contre les taxis clandestins, notamment les utilisateurs des applications intelligentes de transport qui n’ont pas obtenu de licence pour exercer.