Casablanca est la ville la plus chère du Maghreb, Rabat deuxième

4 septembre 2020 - 11h40 - Economie - Ecrit par : J.K

Le cabinet américain Mercer a dévoilé, mercredi 2 septembre, son 26e rapport annuel des villes les plus chères à vivre pour l’année 2020. C’est Casablanca qui occupe la 121e place, ce qui en fait la ville la plus chère au Maghreb.

Ce classement tient compte de plusieurs critères : entre autres, le coût du transport, de l’alimentation, de l’habillement, des articles ménagers, du logement… Les logements avec jardin ou proches d’un espace vert coûtent désormais nettement plus cher. Alors que les bureaux doivent désormais être plus vastes pour accueillir le même nombre d’employés tout en respectant les distances sociales recommandées.

Ainsi, les villes les plus chères du monde le sont devenues encore plus à cause de la pandémie de Covid-19.

La capitale écononomique est suivie de Rabat, qui arrive à la 159e place. Alger prend la 194e place cette année, alors qu’elle était au 184e rang en 2019. Tunis se classe à la 209e place mondiale.

Ce classement est destiné essentiellement à aider les entreprises et les administrations à fixer le montant des “packages” proposés à leurs expatriés.

Bladi.net Google News Suivez bladi.net sur Google News

Bladi.net sur WhatsApp Suivez bladi.net sur WhatsApp

Sujets associés : Casablanca - Rabat - Inflation

Aller plus loin

Rabat et Casablanca parmi les moins chères pour les expatriés

Casablanca et Rabat, deux métropoles marocaines figurent parmi les destinations les moins chères sur la planète pour les occidentaux. C’est ce que révèle l’enquête annuelle...

Rabat et Casablanca parmi les plus chères pour les expatriés

Casablanca et Rabat figurent parmi les villes les plus chères au monde pour les occidentaux. C’est ce qui ressort d’un classement établi par un cabinet américain.

Ces articles devraient vous intéresser :

Maroc : Le secteur de la franchise en danger de mort

La fermeture en série des franchises dans les grandes villes du Maroc inquiète Mohamed el Fane, le président de la Fédération marocaine de la franchise (FMF). Il appelle l’État à soutenir ce secteur qui se meurt.

Bouteille de gaz au Maroc : le prix flambe à partir d’avril

Le compte à rebours est lancé. À partir du 1ᵉʳ avril 2024, les Marocains devront mettre la main à la poche pour se procurer une bouteille de gaz butane. Exit la subvention de l’État, le prix passera de 40 à 50 dirhams, actant la première étape d’une...

Maroc : le grand retour des enseignes internationales

Le secteur des malls et centres commerciaux se remet progressivement de la crise de Covid-19 et de l’inflation. Cette embellie devrait se poursuivre jusqu’en 2030.

Les Marocains paieront plus cher la bonbonne de gaz

Comme décidé par le gouvernement, le prix de la bonbonne de gaz va augmenter dès l’année prochaine. Celle-ci devrait se poursuivre les années suivantes.

Maroc : voici les villes où les prix ont baissé (et augmenté)

Les prix à la consommation ont affiché une légère baisse de 0,3%, selon les derniers chiffres dévoilés par le Haut Commissariat au Plan (HCP).

Immobilier au Maroc : le marché paralysé

Au Maroc, le secteur de l’immobilier sombre dans un immobilisme paralysant. Et, les défis à relever sont nombreux.

Ramadan et réseaux sociaux : les photos d’iftar divisent

Pendant le mois sacré de Ramadan, de nombreux influenceurs marocains publient quotidiennement sur les réseaux sociaux des photos de tables garnies de mets et de boissons pour la rupture du jeûne (iftar). Un comportement perçu comme de la provocation...

Cafés et restaurants : La colère des Marocains face à des prix gonflés

Les internautes continuent d’alerter sur les réseaux sociaux sur la hausse exagérée des prix dans certains cafés et restaurants dans les villes du Nord du Maroc, une campagne qui nuit à l’activité touristique dans la région en cette période estivale.

Maroc : à quand la hausse du prix des bouteilles de gaz ?

Alors que l’idée d’une augmentation progressive du prix des bouteilles de gaz butane au Maroc agite les esprits, le gouvernement se veut rassurant, mais reste assez vague.

Impôt sur le revenu au Maroc : des changements qui ne plaisent pas à tout le monde

Le Parlement a acté la réforme de l’impôt sur le revenu (IR), sans modification du barème initialement proposé. Les amendements proposés par différents groupes parlementaires ont été rejetés.