Les côtes marocaines ne disposant pas de surveillance radar, de satellites et de caméras, en plus du manque de coordination entre les différents postes frontaliers du Royaume, sont autant de raisons qui font des côtes marocaines une proie facile, ont expliqué des sécuritaires français au quotidien Akhbar Al Yaoum.
Les membres de l’organisation d’Al Qaïda au Maghreb Islamique opérant en Algérie et au Sahel sont pointés du doigt. Ces derniers financeraient les activités terroristes d’Al Qaïda grâce au piratage et au détournement de bateaux.
La zone la plus exposée au danger serait sans aucun doute le détroit de Gibraltar. Traversé quotidiennement par 25.000 bateaux, ce détroit large de 11 km serait une cible potentielle.