Après le scandale, le lycée Descartes de Rabat sous pression
Estimant que le licenciement de l’enseignant franco-algérien accusé d’avoir « entretenu une relation d’ordre sexuel » avec son élève de 14 ans au moment des faits n’était pas...
Sous la pression, les écoles de la Mission française au Maroc ont finalement dû adopter une nouvelle politique : le voile, auparavant strictement interdit, est désormais autorisé pour les étudiantes.
Ce virage est le fruit d’une recommandation émise par le ministre français de l’Éducation, traduisant une vision plus ouverte au sein de ces établissements scolaires, selon François Cuilhé, proviseur du lycée Descartes, dans un mail révélé par Belpresse.
A lire : Interdiction de la jellaba : les clarifications du Lycée Descartes de Rabat
Cette annonce tranche avec une précédente décision qui avait créé des tensions au sein de la communauté française du Maroc. La question vestimentaire a également agité la France récemment : une polémique avait émergé à la suite de l’interdiction de l’abaya dans les écoles de l’hexagone, un débat qui avait trouvé écho au sein du milieu éducatif marocain.
Aller plus loin
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L’école Louis Massignon, située à Bouskoura et qui relève de la mission française, est au cœur d’une polémique sur les programmes proposés aux élèves. On lui reproche la...
Le lycée Descartes de Rabat est au cœur d’un scandale de harcèlement sexuel. La victime est une élève, l’auteur présumé de l’acte, un enseignant franco-algérien.
Le tribunal de première instance de Marrakech a donné raison à une élève d’une école française (Victor Hugo) qui a été expulsée pour avoir porté le hijab.
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