
Le Maroc pourrait faire face à une grave crise sanitaire et à une augmentation des incidents de violence et de criminalité, en raison de la propagation rapide de la drogue « l’boufa » qui détruit les jeunes marocains en silence.
Alors qu’elle suit toujours des soins à l’USI, les derniers résultats cliniques sont plutôt favorables à une femme, du nom de Gema, qui a été agressée par son compagnon à Andorre (Teruel), le 7 août dernier.
Selon l’agence EFE qui a obtenu de sources proches du gouvernement cette information, Gema, une femme âgée de 39 ans, reste admise à l’Hôpital Miguel Servet de la capitale aragonaise, où elle a été transférée dans un hélicoptère, en raison de la gravité des blessures qu’elle a présentées.
A l’origine de cet événement douloureux, l’agresseur, d’origine marocaine, a également assassiné leur fils, âgé de moins de 16 ans, alors qu’il tentait de protéger sa mère, puis s’est suicidé en se jetant par la fenêtre, rapporte le média espagnol, El Periodico de Aragon.
La mort du jeune garçon a plongé toute la ville dans le deuil. On pouvait voir, le mardi 13 août 2019, la foule immense, constituée des membres de la Santander corporation, des travailleurs et des citoyens, qui ont observé une minute de silence, pour rendre hommage à l’adolescent.
Encore sous le choc, le Conseil municipal de Santander a rendu public un communiqué dans lequel il a qualifié cette mort de "terrible" événement qui "ne fait que démontrer le mal que certaines personnes pourraient développer" et qui, dans ce cas, "laisse une mère dans l’une des pires situations possibles".
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