Débuté le 12 mars au Maroc, le ramadan, l’un des cinq piliers de l’islam, se profile pour de millions de Marocains. Quand aura lieu l’Aïd El Fitr cette année ?
Parole contre parole et plainte contre plainte. L’enseigne de restauration Quick à Rabat est accusée par un homme de ne pas avoir autorisé sa femme, enceinte de trois mois, l’accès aux toilettes ainsi qu’un verre d’eau.
Auteur d’une vidéo largement diffusée sur Facebook, son mari Abdeslam Chbihi, accuse les employés de la chaine de restauration de les avoir séquestrés et ne pas les avoir autorisés à sortir des toilettes car l’accès est strictement réservé aux clients.
Interrogé par le360, l’homme affirme avoir porté plainte contre Quick exigeant des dommages-intérêts. « La sécurité nous a bloqué à la sortie et nous a refusé un simple verre d’eau, ma femme ne se sentant pas bien, sous prétexte que l’eau n’est pas vendue séparément. Nous avons attendu 1H30 comme si nous avions commis un crime », confie-t-il.
Cette version des faits n’est pas du tout partagée par l’enseigne de restauration qui s’est fendue d’un communiqué hier dans lequel elle explique que « monsieur Chbihi et son épouse passant devant le Quick Rabat Agdal se sont arrêtés pour que Madame Chbihi ait accès aux toilettes privées réservées aux clients du restaurant. Ayant remarqué cela, l’agent de sécurité s’est adressé courtoisement à Monsieur Chbihi qui attendait le retour de son épouse pour lui rappeler le règlement intérieur du restaurant ».
L’enseigne de restauration a décidé de porter plainte à son tour à l’encontre d’Abdeslam Chbihi.
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