Touché à l’épaule, la jambe et au bras, il avait été hospitalisé avant de rentrer chez lui, les médecins n’ayant pu extraire deux balles restées près de la moelle épinière.
« C’est même pas une épée de Damoclès, il m’a tué. Je ne peux même plus porter mes gosses, parce que du jour au lendemain je peux me retrouver paralysé, parce que ma vie est finie. Je ne pourrai plus travailler », avait déclaré son avocat, citant la victime, à l’AFP.
Agé de 39 ans et père de six enfants, son état s’était aggravé la semaine dernière et sa mort cérébrale a été constatée lundi après-midi au CHU de Bordeaux.
« Malheureusement, il s’est effondré d’un coup. Ils ont essayé de le réanimer et il a été transporté au CHU de Bordeaux. La mort cérébrale a été constatée », a détaillé son avocat.
L’agresseur a été mis en examen pour « tentative d’assassinat aggravée par une motivation à caractère raciste ».