L’homme aurait exercé des contraintes et des pressions sur la personne d’Abdelkrim Boufettas l’obligeant à donner "des pots de vin au responsable d’une banque", d’après des sources judiciaires.
En avril dernier, Khalid Oudghiri, 54 ans, avait étudié avec ses avocats le moyen de retourner au Maroc pour être jugé lors d’un nouveau procès qui devait l’innocenter.
L’ex homme fort de la finance marocaine, victime selon lui de ses ambitions, avait prévu d’écrire ses mémoires, dans lesquelles il voulait raconter son parcours professionnel ainsi que les raisons qui l’ont poussé à fuir le Maroc.