
Dans un contexte marqué par l’amélioration de la situation sanitaire et la reprise des voyages dans le monde, l’office national des aéroports (ONDA) espère atteindre cette année un taux récupération de 75 % du trafic aérien, par rapport à 2019.
Suite au détournement, jeudi soir, d’un avion de ligne de la compagnie Air Mauritanie, les autorités marocaines ont décidé de refuser d’accéder à la demande des pirates de l’air et d’interdire l’atterrissage en territoire national.
L’avion a finalement atterit aux îles Canaries. A la demande des autorités espagnoles, le Maroc a accepté de recevoir le trafic aérien régulier destiné à Las Palmas.
Les pirates de l’air qui ont détourné l’avion mauritanien, sont de nationalité mauritanienne. Ils seraient montés à bord de l’appareil à Bamako. Il s’agirait des membres d’un groupe salafiste extrêmiste.
Un des pirates a été arrêté à Las Palmas. Les deux autres ont tenté de prendre la fuite avant d’être arrêtés. Le Boeing 737-700, qui transportait 80 personnes dont 7 membres d’équipage, assurait la liaison Nouackchott-Nouadhibou.
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