
Un total de 160 délits commis dans des lieux de culte, notamment les mosquées, les églises chrétiennes et les synagogues juives, ont été traités par la police marocaine au cours de l’année 2024, a indiqué dimanche le porte-parole de la Direction...
Des milliers de Marocains sont descendus dans les rues dimanche 20 mars pour accélérer le processus des réformes politiques et constitutionnelles dans le Royaume, mais aussi pour réclamer plus de démocratie et de justice sociale.
Les manifestations, dominées par les membres d’Al Adl wal Ihssane, ont rassemblé près de 10.000 personnes à Casablanca et entre 4 et 6000 à Rabat. Tous ont réclamé "la démission du gouvernement" et "un roi qui règne et ne gouverne pas".
Des manifestations ont également eu lieux à Agadir (3500 personnes), Al Hoceima (4000 personnes), Fès (2500 personnes) et plusieurs autres villes du Royaume.
Ces marches, initiée par le "Mouvement du 20 février", se sont déroulées sans incidents majeurs et avec une présence policière discrète. D’autres marches sont prévues à Tanger, Marrakech, ... dans la journée.
Avec ces nouvelles manifestations, le Mouvement du 20 février entend maintenir la pression après les réformes annoncées par le Roi Mohammed VI le 9 mars dernier. Ces réformes concernent la constitution, plus de pouvoirs au premier ministre, l’indépendance de la justice et l’inscription de l’amazighité dans la constitution.
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