Ainsi, ces administrations doivent obligatoirement utiliser ces deux langues officielles lors de l’élaboration des contrats, des notes, des décisions ou tout autre document qu’il soit public ou interne, lit-on dans ce courrier datant du 30 octobre.
Saâdeddine El Othmani met en garde contre les institutions qui ne respectent pas la loi en prenant pour exemple des décisions administratives qui ont été annulées car elles ont été publiées dans une langue étrangère. Même si ce n’est pas cité, c’est la langue française qui est visée par le Chef du gouvernement.
Utiliser une langue autre que l’arabe et l’amazigh est une violation de loi et de la constitution, écrit par ailleurs El Othmani.