
La culture de l’avocat nécessite une importante quantité d’eau. Au Maroc, des voix s’élèvent pour appeler à l’interdiction de cette culture, en cette période de sécheresse sévère et de stress hydrique.
Le port Tanger Med au nord du Maroc
Un taux de croissance de 3,3% est prévu au Maroc en 2018, vient d’indiquer Bank Al-Maghrib (BAM) dans ses dernières projections.
Cette croissance tient compte d’une production céréalière estimée à 80 millions de quintaux « établie sur la base des données pluviométriques et de la situation du couvert végétal arrêtées au 10 mars », explique BAM dans un communiqué.
Au niveau national, la croissance se serait accélérée à 4% en 2017, grâce à un rebond de 14,8% de la valeur ajoutée agricole, tandis que la progression de la valeur ajoutée des activités non agricoles se serait limitée à 2,7%.
L’année prochaine, la banque centrale prévoit une croissance économique de 3,5% avec une hypothèse de production céréalière de 70 millions de quintaux et une augmentation de la valeur ajoutée des activités non agricoles de 3,6%.
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