
Une vingtaine de parlementaires marocains sont dans le collimateur de la justice. Ils sont poursuivis pour faux et usage de faux, abus de pouvoir, dilapidation et détournement de fonds publics.
Rachida Dati, garde des sceaux française et Abdelouahed Radi, ministre de la Justice, ont signé hier 2 conventions de coopération judiciaire à Marrakech.
La 1ère qui concerne l’échange des prisonniers permettra de l’étendre aux citoyens dotés de la double nationalité. Le 2e accord concerne la coopération sur plusieurs volets dont le crime organisé, le blanchiment d’argent...
L’Economiste
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