Maroc : elle avoue le meurtre de son mari après la thèse de la disparition
L’enquête menée par les services de la gendarmerie royale a conclu à l’homicide conjugal. L’histoire se déroule dans la région de Khezara près de Khemisset.
Il a fallu plusieurs mois à la Gendarmerie royale de Biougra pour dénouer l’énigme du meurtre abominable d’une jeune femme de 38 ans.
Autant la rondeur du ventre, devenue visible, rendait heureuse la jeune femme, autant elle commençait à inquiéter son amant, qui ignorait comment procéder pour se débarrasser d’une grossesse indésirable
Invitée par son amant au domicile d’un ami, sous prétexte de la conduire à l’hôpital de Biougra pour accoucher, la victime ignorait en réalité que son compagnon avait élaboré un plan diabolique pour mettre fin à sa vie.
Selon le quotidien Assabah, l’amant et son complice s’étaient servis d’une barre de fer pour lui asséner plusieurs coups à la tête. Pour masquer les traces de leur crime, les deux complices avaient décidé de se débarrasser du corps, en le jetant sous un pont de la route entre Taroudant et Ait Baha.
Les services de la Gendarmerie royale ont mis plusieurs mois pour lever le voile sur ce meurtre, avant de révéler l’identité de la jeune femme grâce aux tests ADN réalisés par le laboratoire scientifique. De plus, la vérification des derniers messages et communications sur le téléphone portable de la victime a permis d’orienter les recherches des enquêteurs.
Mis sous pression lors des interrogatoires de la Gendarmerie royale, le mis en cause a fini par reconnaître son crime et le plan diabolique qu’il avait élaboré avec son complice pour mettre fin à la vie de la jeune femme.
Aller plus loin
L’enquête menée par les services de la gendarmerie royale a conclu à l’homicide conjugal. L’histoire se déroule dans la région de Khezara près de Khemisset.
Il aura fallu 28 pour arrêter l’un des meurtriers d’un homme, dans les environs de Chichaoua. La gendarmerie a enfin pu résoudre l’énigme de cette affaire, avec l’aide notable...
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