« Oman et la Tunisie pourraient être les prochains États à suivre » et « le réchauffement diplomatique pourrait être étendu aux pays d’Asie et d’Afrique subsaharienne, même après le départ de M. Trump en janvier », a fait savoir le New York Times. Une information « infondée », a balayé le gouvernement tunisien, réaffirmant ainsi son « intention à ne participer à aucune initiative qui viole les droits légitimes du peuple frère palestinien », tout en faisant état d’une éventuelle normalisation diplomatique avec « l’entité sioniste ».
Lors d’un entretien à France24, le Premier ministre tunisien Hichem Mechichi, a indiqué que « ce n’est pas une question à l’ordre du jour », précisant que chaque pays « possède sa réalité, sa vérité et que chaque pays a sa diplomatie qu’il considère être la meilleure pour son peuple ».
Cependant, même si la Tunisie a démenti l’information, le Maroc avait également fait de même en août 2020, lorsque le chef du gouvernement marocain Saad Eddine El Othmani démentait les informations faisant état d’une normalisation imminente des relations entre les deux pays.