
Accusé de viols, le rappeur marocain Ali B en pleurs au tribunal
Le tribunal de Haarlem a été le théâtre mercredi d’une audience tendue lors du procès du rappeur d’origine marocaine Ali B, accusé de viol par trois femmes. L’artiste a clamé en...
La Cour de cassation a récemment annulé une décision de la cour d’appel de Tanger qui avait condamné un homme pour le viol de son épouse.
Cette affaire, qui remonte à 2019, avait initialement été classée sans suite par la première instance, avant d’être relancée par la cour d’appel. Celle-ci avait reconnu le mari coupable de « viol conjugal » et d’« atteinte grave à l’intégrité physique » de sa femme.
A lire : Accusé de viols, le rappeur marocain Ali B en pleurs au tribunal
Le 10 octobre dernier, la Cour de cassation a cassé cette condamnation et renvoyé l’affaire devant la cour d’appel de Tanger. Cette décision s’inscrit dans un contexte de débat au Maroc sur la question du viol conjugal. Ces dernières années, plusieurs affaires similaires ont été portées devant les tribunaux.
En 2022, la cour d’appel de Tanger avait notamment condamné un homme pour viol et agression sexuelle avec violence sur son épouse, en vertu des articles 485 et 486 du Code pénal.
Aller plus loin
Le tribunal de Haarlem a été le théâtre mercredi d’une audience tendue lors du procès du rappeur d’origine marocaine Ali B, accusé de viol par trois femmes. L’artiste a clamé en...
Un homme d’origine marocaine, âgé de 30 ans, a été condamné lundi par le tribunal correctionnel de Bourges à dix mois de prison ferme pour violences conjugales sur son épouse.
Le tribunal de première instance de Tanger a condamné un jeune homme, poursuivi pour viol sur une mineure, à une peine de 10 ans de prison assortie d’une amende de 50 000 dirhams.
Critiquée pour les vidéos qu’elle a publiées sur les réseaux sociaux, notamment Instagram, Nadia El Bouroumi, l’avocate pénaliste du barreau d’Avignon qui défend deux hommes au...
Ces articles devraient vous intéresser :