Cette année, 30% des 7000 femmes sélectionnées l’année dernière devront rester au Maroc. Elles ne pourront pas participer aux tâches de récolte de fruits rouges, principalement de fraise en Espagne, précise un communiqué de l’organisation agricole espagnole Asaja-Huelva. Cette réduction du quota affecte non seulement Asaja-Huelva mais également le reste des organisations agricoles.
Sur place, dans les champs de récolte, tout est fin prêt pour accueillir les nouveaux travailleurs à condition qu’une nouvelle vague de contaminations ne se déclenche à nouveau. En tout, 100 000 emplois directs et indirects, sont générés à travers cette nouvelle campagne.
Selon le même communiqué, près de 80 000, dont environ 65 000 femmes sont recrutés dans les champs. La plupart de cette main-d’œuvre sont originaires des pays de l’Europe de l’Est et d’Afrique. Quant au reste de la main d’œuvre, elle est assurée par le service de l’emploi andalou et le SEPES.