Tariq Ramadan
Cet accord a été confirmé mercredi par Luc Hennart, président du tribunal de première instance de Bruxelles et porte sur un jugement public entre Majda Bernoussi et Tariq Ramadan. Cette dernière, qui n’a jamais mentionné le viol par l’islamologue, dénonçait par contre sur Internet son emprise psychologique et une relation destructrice.
Dans le détail, la Belgo-marocaine devait retirer ses publications sur le web et cesser d’en publier des nouvelles, moyennant une somme de 27.000 euros.
La transaction financière « intervenue entre les parties a clos l’affaire en ce qui concerne la justice », a simplement indiqué Luc Hennart, précisant qu’il n’y a pas « eu d’autres actions introduites à Bruxelles, ce qui laisse supposer que l’accord a été respecté de part et d’autre ».
Majda Bernoussi s’est engagée « à ne plus mentionner publiquement, directement ou indirectement » Tariq Ramadan, ainsi que sa famille proche, ses collaborateurs « y compris par des photos, commentaires, mentions, allusions, commentaires publics ».