Invité sur l’émission « Grand invité de l’économie » de RFI et Jeune Afrique, Abdelhamid Addou, PDG de Royal Air Maroc, a passé en revue les sujets brûlants de l’heure qui touchent à la vie et à la survie de la compagnie aérienne marocaine.
Près de trois mois après l’ouverture de sa base à l’aéroport de Montpellier-Méditerranée, pour cause de Covid-19, la filiale d’Air France spécialisée dans le vol pas cher, Transavia, propose depuis le 16 juillet 2020 deux vols par semaine vers Tunis-Carthage, opérés en Boeing 737-800 de 189 sièges. En attendant la réouverture de frontières marocaines, elle a prévu desservir plusieurs villes au Maroc.
La compagnie aérienne low cost Transavia s’apprête à desservir les villes d’Agadir, de Marrakech et d’Oujda au Maroc, sous réserve de réouverture des frontières. Pour l’heure, le Maroc a autorisé partiellement la réouverture des frontières.
Cette opération exceptionnelle vise à permettre l’accès au territoire national, à partir du 15 juillet, aux Marocains quelle que soit leur situation (touristes bloqués à l’étranger, étudiants, MRE…) et aux étrangers résidents au Maroc et se trouvant à l’étranger pour quelque raison que ce soit, ainsi que leurs familles, avait précisé le ministre des Affaires étrangères, Nasser Bourita, lors d’une rencontre avec la presse rencontre avec la presse localae
Pour la low cost française, elle veut accueillir 500 000 passagers pour sa première année d’opérations à Montpellier, note Air Journal.
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