Laure Boulleau, ancienne internationale française, a choisi le Maroc, demi-finaliste de la Coupe du monde Qatar 2022 comme thème pour son dernier épisode de « 24 heures de Boulleau », disponible sur MyCanal. Elle a notamment salué le management du football marocain.
« Quand ils ont structuré leur football, ils ont eu une vision collective des choses alors qu’ils auraient pu vouloir uniquement développer le foot masculin. Mais ils ont élargi. Avec cette première Coupe du monde (20 juillet-20 août) (féminine), il y avait des choses à raconter. C’est un Français qui est là-bas (Reynald Pedros). Chez les jeunes aussi, ils structurent beaucoup. En futsal aussi, il y a énormément de joueurs. Tout est fait de façon intelligente. C’est aussi ça que je voulais mettre en exergue. Le foot féminin, il y a encore du boulot mais pour un début c’est bien. Se qualifier, c’est déjà top », a déclaré Laure Boulleau dans une interview accordée au Parisien.
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S’il y a quelque chose qui a surpris l’ancienne internationale française, c’est bien le nombre de terrains : « Je n’ai jamais vu ça. Dans les villes, il y a un terrain de 5 contre 5 tous les 100 m. J’étais presque jalouse (rires). Quand j’étais petite en Auvergne, on cherchait pour avoir un terrain et là, il y en a partout. J’aurais aimé y être une petite jeune qui débute le foot. » Boulleau confie avoir été également surprise par la passion pour le foot. « J’ai fait le Maroc-Brésil fin mars. Je savais déjà que ce serait dingue… Mais c’est ce pourquoi j’aime le football aussi : la passion, voir des gens heureux aller au stade, un tifo incroyable. J’aime ces ambiances-là. J’ai vraiment adoré. En plus, ils battent le Brésil. J’avais l’impression d’être vernie. Tout s’est déroulé parfaitement. »
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