
Les femmes marocaines continuent de subir en silence des violences sexuelles. Le sujet est presque tabou au Maroc, mais la parole se libère de plus en plus.
La brigade de la police judiciaire de Khouribga a ouvert lundi une enquête préliminaire à l’encontre de onze personnes impliqués de violences et d’agression contre les éléments de la police.
Dans un communiqué, la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) a indiqué que des appels ont été reçus sur le numéro 19 des services de sûreté pour des plaintes sur un groupe de personnes qui semaient le trouble sur la voie publique, empêchant la circulation au niveau de l’avenue "Palestine".
En réalité ces personnes célébraient l’Achoura. Ce qui devrait être pacifique a laissé place à des actes de violence avec des jets de pierres lancés, mettant en péril la sécurité des personnes et des biens.
Les forces de sécurité sont intervenues pour rétablir l’ordre en procédant à l’arrestation des suspects, objet de l’enquête judiciaire qui s’est ouverte pour déterminer les causes de ces actes criminels, conclut la DGSN.
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