Dans une vidéo de plus de 40 minutes, le dénommé Abou Moussab Abdelwadoud, chef d’AQMI, critique la situation au Maroc, en se référant notamment à des extraits de l’intervention d’une députée marocaine, qui dénonçait les conditions de vie au pays et les festivals organisés dans plusieurs villes du Royaume.
Au Maroc, des barrages de sécurité ont été dressés aux entrées et sorties des plus grandes villes du pays, principalement à Casablanca, El Jadida et Rabat, peu de temps après la diffusion samedi de la vidéo de la nébuleuse terroriste sur Youtube.
En août dernier, la Direction de la surveillance du territoire (DST) a démantelé une cellule terroriste qui opérait dans les villes de Meknès, Fès, Taounate et Tiznit. Les membres de cette cellule comptaient "perpétrer des actes de sabotage contre des établissements de l’Etat".