
Abdessamad Kayouh, ministre du Transport et de la Logistique, s’explique sur les retards observés dans la remise des bagages et la perte des bagages dans les aéroports marocains, surtout l’aéroport Mohammed V de Casablanca.
Les bagagistes de l’Aéroport Mohammed V ont enclenché, le mardi 1er octobre, un mouvement de grève de 24 heures renouvelable, pour tenter de se faire entendre.
Le Syndicat des Travailleurs au sol, affilié à l’UMT, s’est fendu d’un communiqué pour annoncer les couleurs. Violations des droits syndicaux, procès en justice, licenciements abusifs. Ce sont, entre autres, les raisons qui justifient cette nouvelle grève des bagagistes de l’Aéroport Mohammed V.
À en croire Younes Rafii, Secrétaire général du Syndicat des Travailleurs au sol, tous les corps de métiers relevant de la société GPI (sous-traitant des services au sol à l’Aéroport Mohammed V pour le compte de la RAM Handling) ont été fortement mobilisés. Il s’agit des caristes, des chauffeurs de bus et des agents de la propreté, entre autres.
Du côté de la RAM Handling, des dispositions ont été prises pour assurer la continuité du service ’’Traitement des bagages’’. À cet effet, 200 collaborateurs volontaires de la Royal air Maroc, tous grades confondus, ont été mobilisés et formés pour remplacer les bagagistes.
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