Ce classement est dû en grande partie à la petite corruption, indique l’Instance centrale de prévention de la corruption (ICPC).
Cette instance qui présente aujourd’hui à Rabat son rapport pour l’année 2009, a reçu une soixantaine de plaintes pour corruption durant cette période, dont une quarantaine n’ont rien à avoir avec la corruption, quant au reste des plaintes, elles ont été envoyées soit par des anonymes, soit les preuves sont insuffisantes, précise l’ICPC. En clair, ces plaintes sont irrecevables.
Tout va bien dans le meilleur des mondes donc ...