Ces plaintes concernent majoritairement des faits de sollicitation de corruption, en raison du manque de transparence dans la gestion de certaines administrations publiques et privées.
Jusqu’à présent, le CAJAC a donné des avis juridiques sur 289 plaintes. Quant à celles qui ne relevaient pas de ses compétences, elles ont été orientées vers les organisations qui peuvent soutenir les plaignants.
Dénonçant la corruption à travers des campagnes de communication, le rôle du CAJAC est surtout consultatif et bute souvent sur le fait que les gens craignent les mesures de rétorsions.