Sur la toile, des rumeurs font état du décès de la célèbre actrice marocaine Fadila Benmoussa. Qu’en est-il réellement ?
Le réalisateur français Michel Ocelot a présenté en avant-première, dimanche à Paris, son dernier film "Azur et Asmar" qui s’inspire tout particulièrement de la Médina de Fès et recrée toute la magie de cette ville mythique.
Touchant, féerique et mystérieux, ce film projette les petits et les grands dans un voyage à travers le temps et bascule avec plaisir dans l’univers magique de Fès, bercé de porte en porte et envahi par le couleurs, les parfums et la musique.
Projeté en collaboration avec l’Office national marocain du tourisme (ONMT), "Azur et Asmar" se veut un hymne à l’amour, à la fraternité et à la tolérance à l’image de Fès, Capitale spirituelle du Royaume de tous temps où la langue et la religion n’ont jamais été des barrières.
Dans leur quête de la fée des "Djinns", les héros de ce film, "Azur et Crapoux", promènent le public dans une médina millénaire qui vit au rythme de ses artisans, dont des tanneurs, des vanniers, des potiers et des marchands d’épices, et lui fait reconnaître aussi tout le patrimoine architectural et culturel de Fès, notamment sa prestigieuse université Karaouiyine, ses medersas, ses portes ouvragées et ses fameux zelliges.
"Fès, c’est avant tout pour moi une histoire de rencontre avec un fassi qui m’a fait découvrir la Médina et ses quartiers d’artisans", affirme Michel Ocelot, faisant remarquer que l’ouverture d’esprit de son guide, ses connaissances et son amour pour sa ville l’ont "beaucoup touché et beaucoup éclairé".
"C’est cette visite que j’ai voulu faire revivre à Azur et Crapoux lors de leur périple à travers les ruelles de la ville", précise-t-il.
"Azur et Asmar" a été sélectionné pour être projeté à Fameck (Est de la France), dans le cadre de la 17-ème édition du Festival du Film arabe (12 - 22 octobre)..
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