« La société Bayane SA, éditrice des quotidiens Bayane Al Yaoum et Al Bayane a été surprise par l’initiative d’une employée travaillant toujours dans la société et percevant chaque mois son salaire de porter plainte pour harcèlement sexuel contre le directeur administratif et financier et membre du conseil d’administration de la société. De même que cette accusation a fait l’objet d’articles sur des sites électroniques et réseaux sociaux d’une manière qui suscite la stupéfaction », explique un communiqué publié hier, précisant que cette employée recrutée sous « l’ancienne direction » avait reçu un avertissement pour « son rendement professionnel ».
« Ce pas qu’a entrepris l’intéressée en accusant le directeur administratif et financier de la société de harcèlement sexuel a surpris tout le monde y compris les employées et employés de la société. L’auteure espère mettre à profit un contexte qui domine actuellement le champ médiatique et juridique. Elle ne porte pas atteinte uniquement à la personne visée par sa plainte, mais à l’ensemble de l’institution et la formation politique qu’elle représente. Ce que nous ne permettrons pas », est-il encore écrit, menaçant de porter l’affaire devant la justice contre la plaignante.