L’une des présumées victimes de Taoufik Bouachrine témoigne (vidéo)
L’une des plaignantes dans l’affaire Taoufik Bouachrine a finalement choisi de sortir du silence et parler à visage à découvert.
Des caméras ont été placées dans les locaux du journal Akhbar Al Yaoum et d’Alyaoum24, affirme la publication dans un article publié hier.
Il est ainsi question de « dispositifs d’espionnage » placés dans les bureaux du quotidien à Casablanca et certains journalistes ont « subi des pressions » pour porter plainte contre le directeur de publication Taoufiq Bouaachrine, arrêté vendredi dernier « pour violences sexuelles ».
« Des menaces de diffusion de photos d’ordre privé » font partie des menaces exercées sur certains journalistes, avance le journal, s’inquiétant « d’évolution dangereuses » observées dans cette affaire.
« Les médias qui dérangent sont menacés, les journalistes espionnés et des photos relatives à leur vie privée peuvent être utilisées contre eux », lit-on sur un long article consacrée à cette affaire.
Pour rappel, Bouachrine est poursuivi pour « traite d’être humain, abus de faiblesse, usage du pouvoir et de l’autorité à des fins sexuelles de manière habituelle au moyen de la menace et du viol ».
Aller plus loin
L’une des plaignantes dans l’affaire Taoufik Bouachrine a finalement choisi de sortir du silence et parler à visage à découvert.
Ce sont de très lourdes charges qui pèsent sur le directeur de publication du journal Akhbar Al Yaoum et du site alyaoum24.com, Taoufik Bouachrine.
Coup dur pour Taoufik Bouachrine, le directeur de publication du journal Akhbar Al Yaoum et du site alyaoum24, qui vient de voir sa garde à vue prolongée par la justice.
Le procureur général du roi près la Cour d’appel de Casablanca a affirmé hier dans un communiqué que l’arrestation du rédacteur en chef du journal Akhbar Al Yaoum Taoufik...
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