Ce déficit tient compte d’un solde positif de 4,1 milliards DH fournis par les Comptes spéciaux du Trésor (CST) et les Services de l’État gérés de manière autonome (SEGMA), précise la TGR.
Selon la MAP, les recettes ordinaires se sont chiffrées à 185,4 milliards de DH, contre 172,9 milliards de DH à la même période de l’année 2018, soit une progression de 7,2%.
En revanche, les dépenses émises au titre du Budget général ont progressé de 13,5% à 257,1 MMDH à fin septembre 2019. Cela s’explique par l’augmentation de 8,1% des dépenses de fonctionnement, de 4,8% des dépenses d’investissement et de 40,2% des charges de la dette budgétisée.
Les engagements de dépenses, y compris celles non soumises au visa préalable d’engagement, se sont élevés à 376,1 MMDH, représentant un taux global d’engagement de 66% contre 68% à fin septembre 2018. Le taux d’émission sur engagements a été de 85%, soit le même taux, un an auparavant.