La culture de l’avocat nécessite une importante quantité d’eau. Au Maroc, des voix s’élèvent pour appeler à l’interdiction de cette culture, en cette période de sécheresse sévère et de stress hydrique.
A Casablanca, les grossistes du marché des fruits et légumes se plaignent de la mévente.
Cette situation des grossistes est due à l’accumulation des stocks invendus depuis la fin du ramadan. Avec une demande quasi inexistante, ces derniers font face à des pertes importantes.
Face à cette situation, les grossistes sont obligés de vendre à perte, a déploré le secrétaire général de l’association du marché de gros des fruits et légumes, pour qui les pertes en cette période de crise sont énormes pour le secteur.
Selon lobservateur.info, les prix pour l’ensemble des produits sur le marché ne dépassent pas 1,5 DH/kg. La tomate par exemple, est vendue à 20DH la caisse. D’un autre côté, les vendeurs sont obligés de continuer à payer la taxe prévue sur la marchandise, qui est de 6% par prix de référence.
Chaque camion peut valoir environ 1 500DH, pour le grossiste. Une situation que déplorent les revendeurs, étant donné la trop grande rigueur des autorités à leur égard qui, selon eux, ne pensent qu’à collecter la taxe.
Par ailleurs, les grossistes lancent un appel aux autorités en ce qui concerne l’absence d’un minimum de prestations sur un marché qui souffre, selon eux, de l’anarchie la plus totale.
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