Le Maroc mobilise d’importantes ressources matérielles et humaines pour contrôler et surveiller ses frontières terrestres longues de 3 300 km et maritimes sur une distance de 3 500 km en plus de l’espace aérien.
Le 5ème round des pourparlers informels sur le Sahara, qui s’est déroulé du 21 au 23 janvier à Manhasset, dans la banlieue de New York, n’aura, comme lors des rounds précédent, rien apporté de nouveau.
Le Maroc et le Polisario, qui continuent à soutenir les mêmes propositions comme base unique des négociations, explique l’envoyé spécial du secrétaire général des Nations Unies au Sahara, Christopher Ross, se sont promis toutefois de poursuivre les discussions au mois de mars prochain.
L’unique acquis des pourparlers auxquels ont participé l’Algérie et la Mauritanie, serait la reprise des visites familiales par voie aérienne entre Laâyoune et les camps de Tindouf, dans l’attente de l’autorisation prochaine des échanges de visite par voie terrestre.
Pourtant les deux parties s’étaient engagées depuis le troisième round tenu en novembre 2010 à Manhasset, à entamer des approches innovantes lors de leurs prochaines rencontres.
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