10 juillet 2020 - 18h30 - Economie - Par: Bladi.net
La relance de l’économie passerait par une accélération du déficit budgétaire. C’est du moins ce que semble proposer Bank Al-Maghrib (BAM) à travers la mise en place de mesures jugées bénéfiques.
Se basant sur une étude de CFG Bank qui annonce un déficit budgétaire à -7,5 % à fin 2020 (plus de 80 milliards de dirhams) contre -3,5 % en 2019, L’Économiste analyse la nécessité de renforcer le déficit budgétaire afin de relancer la croissance économique.
Selon le quotidien, les mesures préconisées par Bank Al-Maghrib (BAM) dans le cadre de la politique monétaire (abaissement du taux directeur à 1,5 % et suppression de la réserve monétaire obligatoire) s’inscrivent dans cette dynamique qui vise in fine à stimuler la production et la distribution de crédits, « fortement en baisse ces dernières années ».
En ce qui concerne l’évolution du crédit au secteur non financier, les prévisions sont positives. Selon la même source, une progression de 1,9 % en 2020 et de 2,6 % en 2021 est attendue, si l’on tient compte des mesures bénéfiques prises par BAM, et qui permettront de « renforcer la capacité des banques commerciales à financer l’économie à des conditions acceptables ».
Pour l’efficacité des deux mesures, L’Économiste propose qu’elles soient « accompagnées de plans de relance et de soutien à certains secteurs durement touchés par la crise afin de stimuler la création de richesses ».
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