Une situation alarmante et surtout insoutenable pour les mères, contraintes d’attendre l’ouverture des espaces aériens pour partir à la recherche de leurs enfants.
Selon Hespress, des dizaines de jeunes marocains purgent leurs peines dans les prisons turques pour vol, escroquerie, violences ou encore appartenance à des réseaux criminels de trafic de drogue ou de traite des humains.
Une soixantaine de jeunes marocains, devenus SDF à Istanbul après avoir passé une année en prison, ont récemment sollicité l’ambassade du Maroc pour leur trouver un abri. La descente en enfer, confie un jeune Marocain, commence quand les autorités turques les privent de leur identité en confisquant leurs passeports, pièces d’identité et moyens de communication.
D’autres migrants marocains clandestins, également SDF à Istanbul, racontent avoir été incarcérés durant plusieurs semaines en Grèce, après avoir été interpellés par les forces de L’OTAN à la frontière gréco-turque.