
L’annulation par le roi Mohammed VI du rituel du sacrifice de l’Aïd Al-Adha ne fait pas que des heureux. Les « chennaqas » (intermédiaires et spéculateurs des secteurs de l’agriculture et de la pêche) se trouvent en difficulté.
“The most powerful man in Morocco”, c’est le titre d’un long reportage consacré au Roi du Maroc, par la BBC News dans son édition du 11 mars courant.
“La famille royale marocaine
est l’une des plus anciennes et des plus puissantes dans le monde (...), qui commande d’une manière loyale ses sujets...”. Le document, sous forme d’un reportage, dresse ainsi l’image d’un Roi aimé par les Marocains pour lesquels, écrit-on, “il représente également la personnalité la plus médiatisée par la presse nationale”.
On compare finalement la monarchie marocaine à celles d’autres pays, précisant que “in Morocco, royalty is power” (Au Maroc, la royauté c’est le pouvoir). Et pour cause, explique-t-on : “Les orientations, appréciations et instructions du Roi... sont systématiquement considérées comme des directives royales”.
La Gazette du Maroc
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