Le voyage débute sur la célèbre place Jemaa El Fna de Marrakech, décrite comme un « marché carnavalesque » à ciel ouvert. Il y règne une effervescence permanente, nourrie par les musiciens, interprètes, marchands de jus de fruits, restaurants et boutiques de souvenirs. Au cœur de la médina, un labyrinthe d’allées invite à la désorientation, évoquant un tissu urbain deux fois plus étendu que le Central Park new-yorkais. « Près de deux fois la taille de Central Park de New York, la médina (de Marrakech) abrite une vaste toile de passages qui semblent conçus pour désorienter les étrangers », est-il écrit.
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En poursuivant l’itinéraire, l’aventure marrakchie vous guide vers des joyaux d’histoire. Entre le palais El Badi, un monument du XVe siècle, lieu de quiétude et de promenades, et le Mellah, ancien quartier juif aux racines plongeant dans le XVIe siècle, l’âme de Marrakech se dessine. Le parcours est enrichi par la découverte de la synagogue Slat Al Azama et du cimetière juif, révélant les multiples facettes de la ville ocre.
La balade n’est pas seulement un voyage dans le temps, mais aussi une plongée dans l’art, indique le quotidien. Marrakech se pare de galeries et de boutiques de design, où se côtoient des créations chics. Les talents des artisans locaux se déclinent à travers une multitude de métiers : sculpture sur bois, travail du métal, conception de verrerie. Marrakech partage cette mise en lumière avec six autres villes, de Paris à Rio en passant par Séoul, présentées également par le New York Times comme des invitations à l’exploration.